A.C.P.G. - Nouveau projet

U.N.C - A.F.N La Boissière de Montaigu
https://www.unc-boissiere-montaigu.fr
Veuves de guerres - Anciens combattants - Soldats de France
Aller au contenu

A.C.P.G.

Les drapeaux

Les Anciens Combattants Prisonniers de Guerre

     Après la fin de la guerre les combattants, les rapatriés ou évadés des camps de prisonniers éprouvent la nécessité de se regrouper en une fédération.
     Aussi le 4 avril 1945 on assiste à la création de la Fédération Nationale des Combattants Prisonniers de Guerre.
     L’information est transmise au niveau national.

      Un prisonnier de guerre est un combattant qui est emprisonné par une puissance ennemie en temps de guerre.
      En principe, pour bénéficier du statut de prisonnier de guerre, le prisonnier doit avoir opéré selon les lois de la guerre, c'est-à-dire qu'il doit dépendre d'une chaîne de commandement, porter un uniforme ou un signe distinctif et montrer ouvertement ses armes. Aussi, les francs-tireurs, les terroristes et les espions en sont exclus
      Au temps de l'Europe nazie des camps de concentration (Konzentrationslager ou KZ) ont été instaurés dans des buts non défensifs, mais ultra-punitifs. (modification: l'Allemagne nazie utilisa des camps de concentration pour éloigner les opposants au régime puis ensuite pour y exterminer immédiatement ou par épuisement au travail et par mauvais traitements les juifs  les tziganes,  les témoins de Jéhovah, les homosexuels, les handicapés. En 1939, Hitler imputa aux juifs la responsabilité de la guerre et transforma certains de ces camps de concentration en camps d'extermination, mais même Auschwitz, le principal de ces camps d'extermination, servit de camp de travail pour les détenus valides autant que d'extermination)
     L'exemple le plus connu (et sans doute le plus meurtrier) de camps de concentration est celui des camps nazis utilisés à partir de 1933 et en particulier durant la seconde guerre mondiale. Dans ces camps, comme Dachau ou Buchenwald, les antinazis allemands, puis les opposants politiques et les résistants de toute l'Europe qui n'ont pas été immédiatement exécutés, y ont été déportés, avec peu d'espoir d'en sortir vivants. Mais l'objectif principal de ces camps répressifs était l'esclavage des internés, leur grande mortalité n'en étant que l'accessoire.


       L'objectif d'un camp de concentration peut être par exemple (et sans que ces différents objectifs soient exclusifs) de :
      - vider un pays de sa population, pour l'empêcher de soutenir des combattants à l'occasion d'une guerre;
      -  purger la population des personnes considérées comme nuisibles ;
      - exploiter un grand nombre de travailleurs forcés, on parle alors de camps de travail.
      Les personnes incarcérées dans de tels camps le sont souvent pour des motifs politiques, religieux, raciaux, d'une façon générale en raison d'une discrimination ou d'un soupçon à leur encontre.
     Les prisonniers travaillaient pendant 6 jours, si ce n'est 7 par semaine. Le dimanche était réservé à la toilette personnelle. Ce qui causa rapidement de nombreux décès pour malnutrition et manque d'hygiène.
     Lorsque Hitler décide l'extermination systématique des juifs, à grande échelle, Rudolf Höß, alors responsable du camp, expérimente divers modes d'exécution.
     Le nombre de déportés augmente rapidement et il est chargé de trouver une application pratique à la solution finale. Son approche du problème est technique et pragmatique. Les exécutions sont jusqu'ici menées à l'arme à feu, les déportés fusillés au bord de fosses communes qu'ils ont eux-mêmes creusés. D'autres prisonniers recouvrent les corps de chaux. Cette méthode est décrite par lui, lors de son interrogatoire après sa capture, comme peu efficace, lente, et coûteuse en munitions. Prenant modèle sur Treblinka, il fait construire deux petites chambres à l'extérieur du camps, où les déportés sont gazés par les gaz d'échappement d'un camion. Höß raconte que cette opération prenait du temps, que les SS chargés de l'opération abrégeaient souvent, et qu'une portion non négligeable des gazés se réveillaient alors qu'on les enterraient.
     Pour surveiller les détenus, les SS puisaient parmi les plus violents des criminels allemands reconnus pour des actes de violence. Ce sont les Kapo.
     Les détenus étaient identifiés par un symbole cousu sur leur combinaison de bagnard : prisonnier politique, juif… Ces derniers étant les plus maltraités.
     Le nombre de déportés augmente rapidement et il est chargé de trouver une application pratique à la solution finale. Son approche du problème est technique et pragmatique. Les exécutions sont jusqu'ici menées à l'arme à feu, les déportés fusillés au bord de fosses communes qu'ils ont eux-mêmes creusés. D'autres prisonniers recouvrent les corps de chaux. Cette méthode est décrite par lui, lors de son interrogatoire après sa capture, comme peu efficace, lente, et coûteuse en munitions. Prenant modèle sur Treblinka, il fait construire deux petites chambres à l'extérieur du camps, où les déportés sont gazés par les gaz d'échappement d'un camion. Höß raconte que cette opération prenait du temps, que les SS chargés de l'opération abrégeaient souvent, et qu'une portion non négligeable des gazés se réveillaient alors qu'on les enterraient.

      Le nombre de déportés augmente rapidement et il est chargé de trouver une application pratique à la solution finale. Son approche du problème est technique et pragmatique. Les exécutions sont jusqu'ici menées à l'arme à feu, les déportés fusillés au bord de fosses communes qu'ils ont eux-mêmes creusés. D'autres prisonniers recouvrent les corps de chaux. Cette méthode est décrite par lui, lors de son interrogatoire après sa capture, comme peu efficace, lente, et coûteuse en munitions. Prenant modèle sur Treblinka, il fait construire deux petites chambres à l'extérieur du camps, où les déportés sont gazés par les gaz d'échappement d'un camion. Höß raconte que cette opération prenait du temps, que les SS chargés de l'opération abrégeaient souvent, et qu'une portion non négligeable des gazés se réveillaient alors qu'on les enterraient.

     C'est en observant les précautions importantes que nécessite l'emploi d'un pesticide utilisé pour nettoyer les baraquements, que l'idée lui vient d'employer le Zyklon B dans ces chambres. Le Zyklon B était un pesticide connu et utilisé couramment dans l'armée allemande, le camps d'Auschwitz en possédait donc de grandes quantités en stock. Pour nettoyer un baraquement de la vermine qui l'infestait, il fallait en faire sortir tous les prisonniers, fermer hermétiquement toutes les ouvertures et répandre les cristaux de ce pesticide sur le sol. Après environ une demie heure, un soldat pénétrait dans le baraquement, munit de gants et d'un masque à gaz, pour ouvrir et ventiler la pièce.
     Testé en septembre 1941, le produit se révèle mortel même en très petite quantité. Les SS ajoutent des ventilateurs, pour accélérer la ventilation après le gazage. Les corps des premières victimes recouvrant souvent les cristaux de Zyklon B qui réagissent à l'air, ils installent également des colonnes percées de trous, où le produit est versé depuis le toit par un soldat. Des fosses sont transformées en bûchés pour brûler les corps arrosés de gasoil.
Retourner au contenu